L’erreur de casting
Bernard Stalder, qui a claqué la porte de la présidence de la BCVs, explique aujourd’hui aux heureux lecteurs de « La Banque suisse » les raisons de son choix. Ce n’est pas pour raison de santé, non. Il va bien, merci. Non, c’est juste qu’il se faisait un peu chier dans ce boulot pourri: pas de vrais challenges, pas de risques. Une paie de ministre à rien foutre ou presque. Parce qu’il y a aussi les responsabilités « politiques » qui incombent à sa charge: obligé de participer à plein de réunions pseudo-culturelles d’arrière-pays, de se taper les vernissages avec une intelligentsia de bouseux prétentieux, obligé de boire du vin Giroud un jour sur deux, de se farcir les combats de reines et les fines analyses stylistiques d’amateurs éclairés… La liste n’est pas exhaustive, loin s’en faut. Et ça, oui, ça aurait pu justifier peut-être son salaire. Mais en tout les cas pas le boulot d’employé de commerce dont relève le poste.
En première page du Nouvelliste, Jean-François Fournier qui lui fréquente assidûment les apéros dînatoires et les coteries cul-culturelles de l’extrême droite valaisanne, nous rappelle que l’homme fut mis en place par Monsieur Cina pour contrer Jean-René Fournier et que ce dernier aurait certainement été beaucoup plus compétant.
Aux vues de la description de la fonction que nous fait aujourd’hui Monsieur Stalder, et du bilan de Monsieur Fournier en tant que conseiller d’État, on ne peut, hélas, que donner raison au rédacteur en chef du Nouvelliste.
Alcazard, surpris
mai 20th, 2011 à 15 h 27 min
Tsss et dire qu’à l’époque, y avait eu une candidature de valeur pour le poste, celle de Fernand! Quel gâchis…
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http://www.lagreu.ch/lemag/?p=341
Allez une bière de cave et un peu de musique pour oublier! http://www.youtube.com/watch?v=HtwxklPfku0