L’hygiénisme, ou la face cachée de Boris
Frustré de ne pas être parvenu à aseptiser la ville de Sion qu’il voulait nettoyer de ses téléphones portables, c’est maintenant à Genève que Boris, déguisé en raton laveur, est allé porter sa propagande hygiéniste, afin d’y insuffler « un esprit neuf pour une ville nette« . « Amical et sympathique », il n’en est pas moins résolu à « lutter efficacement contre des comportements qui importunent majoritairement l’environnement urbain », pour en venir à bout du « sentiment de saleté » qui pollue la vie des citoyens propres et honnêtes. Sa priorité ? La chasse aux tags qui recouvrent les façades de la ville. Souriez, vous êtes karchérisés!
alambic, distillateur de conneries en tous genres
avril 29th, 2009 à 23 h 03 min
Ce qui est terrible, pour le gouverneur, c’est qu’il a fait acte de candidature. Qu’il a dit son intérêt. Qu’il a essayé d’y arriver. Quand on est chef de meute, si on se lance un défi, il faut réussir. Sinon, on fait la preuve de sa faiblesse. Et si l’on a régné par la force ou le prestige, tout aveu de faiblesse, toute défaite est fatale.
On perd le respect de la meute.
Dure fin de carrière pour Jean-René.
Notre bon vieux sénateur.
avril 30th, 2009 à 7 h 06 min
C’est bien connu, Boris est aussi sympathique qu’un raton laveur. On a toujours envie de venir prendre une bière à la grenette.
Personnage détestable, mais je concède au moins que la bière est buvable.
foi de Davy Crockett
avril 30th, 2009 à 8 h 56 min
Je tiens à démentir tout lien avec l’autre Boris.
avril 30th, 2009 à 9 h 53 min
Dis donc Ch.! J’ai vu les mêmes lignes dans trois blogs différents (au moins). Tu ne manquerais pas d’originalité dans tes commentaires???