Football : 1, diplomatie : 0

Ah, bravo! Isolée au cœur de l’Europe, la Suisse n’a pu trouver que l’Espagne pour l’appuyer dans le long bras de fer qui l’a opposée au terrible dirigeant libyen.

Et qu’est ce qu’on fait dès que s’est fini et qu’on a récupéré notre otage bien aimé? Hein? On leur fout un à zéro!

C’est pas bien gentil ça…. On ne trouvera plus personne la prochaine fois.

Alcazard

5 commentaires pour “Football : 1, diplomatie : 0”

  1. sardinaluileNo Gravatar dit :

    Je croyais que vous vous footiez du foot… Je suis très déçue.

  2. la guêpeNo Gravatar dit :

    qui est-ce qui écrit la vraie sardine à l’huile ou celle de contrefaçon :))

  3. AlcazardNo Gravatar dit :

    R’en à voir, j’cause politique internationale, Madame.

  4. sardinaluileNo Gravatar dit :

    @la ouipe
    Vous ne reconnaissez pas ce style inimitable qui embaume l’iode et dont le lyrisme n’a d’égal que la pertinence de l’à-propos, fleur de sel du ouèbe subtilement parfumé de guano de rhinocéros laineux – celui qui frise? Je suis très redéçue.
    Mais il est vrai que le Valaisan, goitre à l’appui, ne connaît rien aux choses de la mer.

  5. FernandNo Gravatar dit :

    Puisqu’on parle de football… Je m’étais dit que je boycotterai le mundgial, j’ai pourtant craqué et j’ai regardé le match Espagne- Suisse durant… 20 minutes.
    Bon ok, on a battu l’Espagne, ce qui n’était jamais arrivé en 18 confrontations. Génial! Mais quand on regarde du foot à la TV, c’est qu’on aime le foot. Ça parait logique. Mais quand on aime le foot, on ne peut décemment pas se réjouir de la victoire de la Suisse pour d’autres raisons que celle du nationalisme mal placé…pardon, du patriotisme.

    Même l’Italie de l’époque du catenacio était plus séduisante que la Suisse actuelle avec sa formation 8-1-1. Il faudrait suggérer à Hitzfeld de faire la sortie du Mac Do et d’engager 5 ou 6 personnes de plus de 200 kilos afin de faire muraille devant le but de Benaglio en les entassant. Ça serait encore mieux. Sûr qu’ils encaisseraient pas de buts.
    Pour les amateurs de foot, les vrais, ceux qui ont aimé le Brésil de Zico ou la Hollande de Cruyff, le beau jeu quoi, il faut cesser le calvaire et attendre impatiemment l’élimination de la Suisse…