Les dégats de la privatisation

Parce que dehors il fait pas beau, que vous avez déjà visité 15 fois ce mois-ci la fondation Gianadda, que vous n’avez pas l’excuse de devoir aller acheter des cigarettes ou que vous prétextez une grève des CFF pour ne pas vous payer l’adaptation théâtrale de Bastien Fournier, que vous êtes fauchés comme les blé et ceux qui le travaille, que le bistrot du coin a pris feu ou pour toutes autres raisons et prétextes prêtant à rester chez soi, il y a une solution : visionner le Théma d’Arte sur les dégâts de la privatisation :

Les commentaires sont fermés.