Victoromain Hugotallaz a la larme à l’oeil
Encore un vibrant hommage du triton de Genève, dans son blog :
« Je partirai donc pour Veyras. Je choisirai mon jour pour me rendre jusqu’au petit cimetière. Dès l’aube, je me mettrai en route. Le ciel sera bleu, bien sûr;une brise printanière agitera le sommet des arbres, bien sûr. Là, pas de houx vert ni de bruyère en fleur, mais je lirai à voix haute une page du « Testament du Rhône » et, un peu plus tard, une autre du « Pays secret ».
C’était en 1976, quand Maurice Chappaz se faisait écharper par le Nouvelliste dans des termes d’une violence inouïe (voir l’article de Fernand), qu’il fallait parler de Chappaz. Maintenant, de là où il est, il se contrefiche d’entendre sa prose éructée en plein vent, même par un fitlozof. Franchement. Surtout du sous-Victor Hugo.
Sortez de mes contemplations.
Orgel, Hugophile