Mémouares d’architèchtes
mardi 24 septembre 2013Inventaire
Une pierre
Deux maisons
Trois ruines
Quatre fossoyeurs
Un jardin
Des fleurs
Un raton laveur
…
J. P.*
Je prie d’ores et déjà les millions d’internautes transis, de geeks fanatiques et de no life idolâtres qui me lisent aux quatre coins de la planète et qui me pressent, jour après jour, dans de longs mails enflammés et fous, de réagir et de régler une fois pour toutes tel ou tel sujet d’actualité à portance universelle de m’excuser humblement: malgré mes nombreuses compétences en ces domaines, cette fois encore je ne traiterai ni de la montée de l’insécurité islamiste, ni de l’incroyable progression de l’incivilité soixantehuitarde, galopant en nos belles rues pavées, ni du conflit israélo-palestinien, ni même d’une possible implantation sur la Lune d’une prison internationale (avec chaises électriques) pour les criminels pédophiles super-dangereux. Cette fois, sans doute parce que je n’éprouve en ces heures de solitude sombre, de profonde tristesse et de désarroi sans fond qu’une nostalgie vague et un amour absolu pour les vieux cailloux joliment entassés, je ne parlerai que d’un sujet exclusivement séduno-sédunois.
HaldirAlarion, Monster57, samira75000, BB_vloum et, toi aussi, Zineb 7, vous que je sais accrochés à mes écrits un peu partout de par le vaste monde, je vous prie donc d’excuser la mesquinerie des considérations aussi communes que communales qui vont suivre.