La balle au pied du comte d’Orgel
mercredi 10 décembre 2008On aime bien, ici, l’ami Winston Churchill. Il incarne une espèce d’humaniste renaissant projeté en pleine tourmente guerrière, il buvait, il fumait, il pétait sans doute. Il avait du coffre, de la tenue, un joli chapeau mou, une ampleur qu’ont dû lui reprocher les horse guards chargés de porter son cercueil lors du convoi funèbre, et un certain sens de la formule.