Culpabilité et mauvaise foi
vendredi 22 mai 2009Ainsi donc Vincent Pellegrini vole au secours du pauvre professeur Windisch si malmené dans les médias. Pensez-vous, ils ont osé demander au doyen de son université (son employeur donc) sa réaction face au petit papier de l’autre jour où, rappelons-le, Monsieur Windisch affirmait que les Allemand avaient « l’habitude » d’exterminer leurs minorités. Forcement, quand on fait des papiers comme ceux de Vincent, ça ne doit pas paraître évident que le travail de journaliste consiste aussi à demander à toutes les parties concernées ce qu’elle pense du sujet traité. Pour lui un seul point de vue semble parfaitement suffisant.